Dès l'abord Dahouët s'inscrit dans un paysage qui le rend aisément reconnaissable, autrefois comme aujourd'hui : la ria, à la fois étroite et profonde qui recueille le petit cours d'eau de la Flora, frappe le regard,
qu'on l'aborde de la route qui descend quand on vient de Lamballe, au niveau de l'eau de la cale, Quai du Mûrier, devant ce qui était les Pêcheries d'Armorique, ou de l'oratoire de Notre-Dame-de-la-Garde, avec une vue en surplomb.
Assurément « Le havre et port de Dahouët , Côte de St-Brieuc », comme il est nommé dans un ancien plan de 1780 , a vu son apparence profondément modifiée en 1989 quand a été créé le bassin en eau profonde des Salines. Mais cela n'a fait que prolonger les métamorphoses du lieu, passé de la production de sel, de l'exportation de toiles puis de pommes de terre, de haut-lieu de départ des bateaux pour la pêche à la morue à Terre-Neuve et en Islande (Voir les onglets qui lui sont consacrés), de pêche côtière, à l'accueil de bateaux de plaisance toujours plus nombreux. Cette évolution s'est accompagnée au XIXème siècle de construction de quais, de cales, de magasins et de hangars, de maisons de pierre, de cafés et d'hôtels, devenus aujourd'hui de paisibles maisons de particuliers. Désormais ce sont les promeneurs du week-end qui longent les quais, remplissent les restaurants ou mangent des gaufres.
Les activités nautiques de loisir sont devenues un enjeu important de la vie locale : en témoignent la construction de l'Ecole de voile, du terre-plein pour dériveurs aménagés dans l'anse en face de la crêperie Le Zef, et l'arrivée de La Pauline, un vieux gréement copie d'un lougre de1901, dont la sortie du port, toutes voiles dehors, est à chaque fois pour ses spectateurs un moment d'émerveillement . Il faut aussi se rappeler l'extraordinaire enthousiasme populaire pour la Fête de la Mer, qui a accompagné l'enfance et l'adolescence des membres de l'association pour comprendre notre envie de prolonger ces moments privilégiés.
Dans cet ensemble tout ce qui peut concourir à renouveler, développer ce qui a trait à la mer nous a semblé positif. Le Festival Marin a proposé en 2024 une série d'activités qui n'avait pas d'autre objectif que de renouer avec cet enthousiasme pour " le havre et le port de Dahouët ". S'y mêlait aussi le sentiment qu'il s'agit d'un lieu très spécifique dont il faut préserver le caractère unique...
qu'on l'aborde de la route qui descend quand on vient de Lamballe, au niveau de l'eau de la cale, Quai du Mûrier, devant ce qui était les Pêcheries d'Armorique, ou de l'oratoire de Notre-Dame-de-la-Garde, avec une vue en surplomb.
Assurément « Le havre et port de Dahouët , Côte de St-Brieuc », comme il est nommé dans un ancien plan de 1780 , a vu son apparence profondément modifiée en 1989 quand a été créé le bassin en eau profonde des Salines. Mais cela n'a fait que prolonger les métamorphoses du lieu, passé de la production de sel, de l'exportation de toiles puis de pommes de terre, de haut-lieu de départ des bateaux pour la pêche à la morue à Terre-Neuve et en Islande (Voir les onglets qui lui sont consacrés), de pêche côtière, à l'accueil de bateaux de plaisance toujours plus nombreux. Cette évolution s'est accompagnée au XIXème siècle de construction de quais, de cales, de magasins et de hangars, de maisons de pierre, de cafés et d'hôtels, devenus aujourd'hui de paisibles maisons de particuliers. Désormais ce sont les promeneurs du week-end qui longent les quais, remplissent les restaurants ou mangent des gaufres.
Les activités nautiques de loisir sont devenues un enjeu important de la vie locale : en témoignent la construction de l'Ecole de voile, du terre-plein pour dériveurs aménagés dans l'anse en face de la crêperie Le Zef, et l'arrivée de La Pauline, un vieux gréement copie d'un lougre de1901, dont la sortie du port, toutes voiles dehors, est à chaque fois pour ses spectateurs un moment d'émerveillement . Il faut aussi se rappeler l'extraordinaire enthousiasme populaire pour la Fête de la Mer, qui a accompagné l'enfance et l'adolescence des membres de l'association pour comprendre notre envie de prolonger ces moments privilégiés.
Dans cet ensemble tout ce qui peut concourir à renouveler, développer ce qui a trait à la mer nous a semblé positif. Le Festival Marin a proposé en 2024 une série d'activités qui n'avait pas d'autre objectif que de renouer avec cet enthousiasme pour " le havre et le port de Dahouët ". S'y mêlait aussi le sentiment qu'il s'agit d'un lieu très spécifique dont il faut préserver le caractère unique...